Du Vol à l'Amitié [PV-Debra] -Suspendu-

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La jeune blonde descendit du bateau, soulagée de remettre le pieds à terre, elle lançât un dernier regard plein de joie au rebelle qui l'avait escortée le long du voyage. Puis, elle s'étira et repris sa valise de sa main droite, mettant la seconde sur sa poitrine, tenant son pendentif. Elle commençait déjà à imaginait le monde, elle l'imaginait par le biais des livres, mais aussi des mots du voyageurs, mais au plus elle s'avançait dans la ville, au plus son utopie changeait, elle voyait des personnes faire recourt à la violence gratuite, et cela la dégoutée de plus en plus du monde. Et encore, elle n'en avait vue que l'une ou deux, elle se trouvait dans une grande ville, plutôt bien tenue. La jeune femme ne trouvait plus les mots pour décrire ce qu'elle ressentait. Son utopie était terminée. Elle voulait rentrée chez elle, mais elle s'était promis de ne pas y retournée sans Yvan ou son frère. Elle ne voulait plus se retrouver seule avec elle même, seule avec ses souvenirs qui la blessaient tant. Puis, elle observât la ville, de son regard gris bleuté, ces pupilles rondes et noires fixaient le monde. Elle aperçut alors une taverne dans laquelle elle décidât de s'aventurer. Le bâtiment était assez beau, mais cependant si simple. c'était juste un comptoir de trois mètres, et quelques tables en face. Plus loin, on y trouvait un billard, deux hommes étaient en train d'y jouer. Le barman, tant qu'à lui, était quelqu'un d'un peu gros, avec une moustache brune, le crâne légèrement dégarnit... Les clients étaient en majorité des hommes, certains avaient l'air honnête, d'autres pas. Sur une petite table, vers la le billard, contre le mur, se trouvait une jeune fille, qui semblait observait la pièce dans son ensemble, comme si elle attendait quelqu'un ou quelque chose... Elle était très mignonne, elle n'avait pas trop de poitrine, des yeux en amande d'une couleur violette, et ces cheveux à peine ondulés tombaient avec douceur sur les épaules de la damoiselle...
La blondinette s'approchât alors du comptoir, et demandât une boisson rafraichissante, puis, après avoir payée celle-ci, elle allât s'installer sur une table, au fond de la pièce, c'était la seule d'encore libre, et, elle se retrouvait dos à la jeune fille qui l'intriguait un point. Foh commençât à siroter sa boisson, laissant sa bourse juste devant elle, n'ayant pas eut le réflexe de la ranger. Elle regardât alors son collier qu'elle effleurât de l'index, puis, se re-fixât à nouveau sur sa bourse, étant la seule chose qu'elle pouvait regarder sans se faire dévisager. Celle-ci était presque vide, il lui faudrait gagner de l'argent, et le seul moyen qu'elle avait, se serait de vendre ses affaires, et, à part le manteau en cuir de son frère et le collier de son père, elle n'avait rien d'une valeur supérieure à trois pièces d'or...

La jeune fille en question n'était autre que notre chère Débra, se dernier chercha quelque chose à voler, mais ne sachant pas trop quoi voler, en faite à part les hommes qui le matta alors il n'y avait qu'une femme à voler, se retournant pour regarder par dessus l'épaule de cette dernière et voir une bourse ! Oui de l'or. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas vue quelqu'un ayant quelque chose d'interressant, mais cette personne porta aussi un long manteau de cuir qui l'interressa, il allait devoir la suivre car ici il y avait trop de monde et la voler serait du suicide, se remettant correctement sur sa chaise, le barman vint alors lui apporter une chope, surpris il se demanda alors quoi sur le coup quand le barman déclara.

Barman : "C'est cette homme au comptoir qui vous l'offre."

Moi : "Remerciez le de ma part je vous prie."

Le barman partie alors retourner au comptoir, il avait du être bien payer pour ce déplacer de lui même, en faite cela se vit au premier regard, l'homme était richement vêtus, un pigeon à déplumer en plus, la chance était là aujourd'hui ! Notre voleur regarda alors cette fameuse chope, le regard perdue dans le liquide, prenant délicatement sa chope dans ses mains il bue alors d'une façon trés féminine, ici il ne devait pas montrer qu'il était un homme, sinon pour voler se ne serait pas trés facile, reposant sa chope n'en ayant bue qu'une gorgée cela allait s'avérer durre de voler la demoiselle dérière lui, tandis que le riche homme lui s'avança alors, c'était dangereux mais amusant à la fois, le jeune homme regarda alors cette homme qui sembla riche, se dernier se présenta à notre ami.

Jean : "Bonjour gente demoiselle, je me présente je suis Jean Delaroche."

Moi : "Enchanté... Je suis Elisabeth Frynd."

Jean : "Pour une demoiselle si magnifique vous portez un prénom magnifique."

Moi : "Merci... Allez vous en vous me dérangez."

Débra avait parlé ainsi qu'en il remarqua que cette homme n'était en faite qu'un faux riche ne cherchant à draguer, ce dernier partie alors en rogne, un soupire venant de notre voleur qui dit alors.

"Ses hommes, que des coureurs de jupons."

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Fiona écoutât la conversation qu'entamait la jeune fille qui l'intriguait tant avec l'homme aux cheveux brunâtres qui était venu lui adresser la parole. Puis, elle retint alors le nom de la damoiselle, Elisabeth Frynd, un nom d'une personne de haute noblesse semblerait-il. Puis, la blondinette entendit l'homme se faire remballer. Surprise, elle se contentât de lever un sourcil avant de finir sa boisson et de se lever. Elle empoignât rapidement sa bourse avant de passer une main dans ces cheveux et s'approcher du comptoir, se mettant sur la pointe des pieds pour rapprocher son visage du barman et lui murmurât à l'oreille d'offrir un verre à la jeune fille, au fond de la pièce, une fois qu'elle serait partie. Puis, elle reposât ces talons à terre et se retournât vers la demoiselle, lui adressant un sourire qu'elle ne capterait sûrement pas. Foh se dirigeât ensuite vers la porte de la taverne, la franchissant, attendant juste à l'extérieur du bâtiment, adossée contre le mur, observant le monde, elle raccrochât alors sa bourse à sa ceinture, comme à son habitude, avant de se passer de nouveau une main dans ces cheveux volants au grès du vent. Puis, quand elle entendit la porte du bar grincé, ces yeux grisâtres passèrent à une couleur saphir profonde, tandis que leurs pupilles s'allongèrent dans la hauteur. La jeune fille passât une main sur son pendentif, baissant son regard sur le sol...Elle pensait que la jeune fille allait sortir, mais non, c'était un homme aux cheveux bruns, le même que celui qui avait dragué mademoiselle Frynd. Fiona posât alors son regard mystique et mystérieux sur l'inconnue avant de lui adresser un sourire discret, à peine visible, se trouvant au coin de ces lèvres, puis elle articulât quelques mots de sa voix claire :

-Monseigneur, j'ai beau être niaise, je ne suis pas sourde. Je sais très bien que vous êtes en manque de compagnie féminine, et ce n'est pas parce que l'on vous à remballer qu'il faut dessuite se lancer sur une nouvelle proie. Alors, à moins que vous veniez pour autre chose, je crois que nous n'avons rien à nous dire.

Comme intrigué, l'homme repartit, et, il s'adressât à la première inconnue qu'il trouvât. Peut-être aurait-il plus de chance par la suite... Enfin, la blondinette avait retrouvé son regard grisâtres et ses pupilles, rondes, elle enfouie alors ses mains dans les poches de son manteau bien trop grand avant d'attendre patiemment la venue de la jeune fille.

Débra lui qui finit alors sa chope en vit une deuxième arriver, c'était plus que surprenant, il pouvait boire gratuitetement ! Qu'elle chance, aujourd'hui il allait peut être gagner le jackpot se disait il, mais au fond... L'envie de manger le prena alors, se levant de sa chaise en finissant sa deuxième chope il vint alors vers le billard charmant l'un des hommes pour lui laisser tirer un coup, ce qu'il fit, réussissant alors à entrer une bonne boule elle rendit alors la queue de billard à l'homme et se décida d'avancer vers la sortie, mais faisant alors un pas en dehors qu'il aperçut tous de suite la femme de tous à l'heure à sa droite, il resta comme figé même surpris, se tournant vers elle il ne savait pas quoi dire la regardant, jetant même un vif regard vers la bourse de la femme, l'envie de voler était grande mais ici c'était dangereux, déjà que de l'intérieur du batîment certains homme les regardèrent, il ne savait pas trop quoi faire ici, dans le doute du moment il mit ses mains dans ses poches regardant alors la jeune femme.

"Cela fais un moment que vous m'attendiez ?"

Cette question était un peu hasardeuse, oui le jeune homme de sa voix féminine ne savait pas quoi dire d'autre, n'ayant pas trop le temps car l'appétit le guetta, discuter un peu avant de la voler était une excellente idée, et même attendre que la rue soit plus peupler pour mieux lui prendre sa bourse sans qu'elle s'en aperçoive, il lui fallait du temps, mais en même temps que lui voulait elle ? Cette question trotta dans sa tête, ayant mentit sur son identité Débra savait qu'il devait faire attention et que peut être c'était une femme qui était à sa poursuite pour récupérer l'argent de son époux, qui pouvait savoir au fond ? La question ne se posa pas.

*Elle ne dit rien qui vaille celle là...*

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La jeune fille, quand elle relevât la tête, trouvât devant elle une fillette, si on pouvait la qualifiée ainsi, avec un regard si profond et si attirant que la blondinette faillit tombée sous son charme. Elle trouvait ce regard d'un mystère si attirant. Décidément, les personnes qu'elle rencontraient avaient de ces regards... Entre Kaelis, ce rebelle aux yeux braisés, et cette jeune fille aux regard violets étincelant comme un diamant... Enfin, Foh lui adressât un sourire quand son interlocutrice s'adressât à elle. Avant de répondre, toujours avec sa voix cristalline et chaleureuse au possible :

-Non, ne vous inquiétez pas. Et qui vous dit que je vous attendiez ?

Fionie se décollât alors du mur avant de tendre sa main en façon de serrer celle d'Elisabeth, se présentant alors sous sa réelle identité...

-Je me prénomme Fiona Martinez, je viens de Feryl, et... Dans cette taverne, vous m'avez intriguée au possible. Que fait une jeune femme aussi distinguée que vous fessiez dans un endroit comme celui-ci ?

En réalité, la blondinette s'en moquait un petit peu, ce qui l'intéressait, c'était la jeune fille en elle même, et son regard si intriguant, aussi, elle arrivait à distinguée une énergie spéciale qui émanait de la gamine... Peut-être pourraient-elles sympathisé se disait Fyo... Mais ça, ça restait à voir. Enfin, Foh possât sa main sur sa bourse et la dissimulât sous son manteau, tout comme son rapière, elle avait seulement à la main ce qui lui servait de valise en réalité. Celle-ci était abimée et recousue à de nombreux endroits...

Ne pas s'inquièter ? C'était la dernière chose à faire, mais notre ami se méfia, qu'avait elle comme idée ? Notre voleur ne voulait réellement pas savoir ce qu'elle voulait faire et bien entendue il voulait lui prendre sa bourse sur l'instant, observant le gestes de la jeune femme en y faisant attention, il avait repéré la rapière et cela lui suffit de comprendre que cette femme savait se battre, mais cela ne le détournerai pas de son idée première, son regard retourna vite fais vers celui de la jeune femme se dressant devant lui, quand elle tendit sa main ce fut la que son idée lui vint en tête. Notre voleur venait d'avoir son petit plan vite fais dans sa tête, il était sûr de pouvoir lui voler sa bourse désormais.

*C'est le bon moment...*

Voyant la main tendu vers lui pour qu'il la serre, ce fut ce qu'il fit, mais une chose lui courrut dans la tête, lui distingué ? C'était à en mourir de rire au fond, ou peut être le fais qu'étant issue d'une riche famille il en ai gardé des mannières, ce qui était des plus étonnants à ses yeux, le jeune homme décida donc de poser cette question pour en avoir la certitude.

"Le suis je vraiment ? Et pour répondre à votre question, vous le serez en temps et en heure."

Un léger rire se perdit alors quand de sa main libre il décida d'user de son pouvoir pour passer au travers du manteau et d'en retirer la bourse, au même moment il lacha alors la main de la demoiselle et se retourna en commençant à courir, maintenant il n'avait plus cas fuir, qui pourrait l'arrêter, dans sa fuite, le barman qui l'avait surveillé lui attrapa le poignet, qu'elle malchance pour notre ami qui depuis le début n'avait pas fais attention à se dernier qui les avaient observé.

Barman : "Enfin je te tiens sale voleuse !"

Moi : "Mais lachez moi de qu'elle droit osez vous me toucher !"

Se débattant et n'étant pas assez fort malheureusement il n'avait plus cas se résigner, mais ne voulant pas trop affamer pour ça il donna un bon coup de pied bien placer au barman qui sur le coup le lacha, mais à ce moment là une autre main lui attrapa le poignet, qui cela pouvait être à ce moment là ?

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Fiona but toutes les paroles d'Elisabeth, jusqu'à ce qu'elle s'aperçoive que celle-ci était en train de détaller. Un voleuse ? Se demandât la blondinette qui commençât à se diriger lentement vers la jeune Frynd. Puis, par chance pour la jeune voyageuse, le barman attrapât la jeune fille, celle-ci donnât un coup plutôt ingénieux à son dit agresseur afin de fuir, mais elle n'avait pas calculé que Foh aurait eut le temps de la rattrapée. En effet, cette dernière saisit délicatement le poignet de la fugitive, rattrapant délicatement sa bourse en affichant un large sourire. Toujours en tenant sa prisonnière, elle s'avançât vers le tavernier, fouillant dans sa bourse et sortant une petite pièce d'argent.

-Tenez. Mon apprentie est bien indisciplinée de vous frapper ainsi. Je lui avait donner comme exercice de fuir avec ma bourse pour entrainé son agilité, non pas pour l'aider à devenir voleuse, rassurez-vous, mais je n'avez pas prévue que quelqu'un la saisisse ainsi et mette en péril cet exercice, alors, prenez cette pièce comme dédommagement, je ne peux vous donner plus en raison d'une baisse dans mes revenus... Mais, c'est toujours mieux que rien, non ?

Le tavernier semblât perturber. Lui qui était persuadé d'avoir attrapé celle qui empêchait ces clients de payer, il venait de se saisir d'une jeune apprentie guerrière. Quelle méprise ! Enfin, Foh, saluât l'homme avant de trainé la jeune fille dans une ruelle plutôt sombre et à l'écart du reste.

-Bon, je pourrais t'amener en prison, tu le sais ça ?! Oui ? Bon, alors écoute moi bien, cette fois-ci, tu vas répondre dans l'immédiat à mes questions. Premièrement, comment t'appelles tu ? Deuxièmement, pourquoi m'avoir volé ? Je t'ai fait quelque chose ? Ho, et dernière question, comment as-tu fait ?

Le regard de Foh était soutenue et de toute beauté, celui-ci prenait de plus en plus une couleur grisâtre, et la pupille semblait s'allongeait, comme si un sixième sens était en action, pourtant, la jeune fille ne s'en rendait pas compte, et elle affichait bientôt un sourire chaleureux et son ton amer était repartit...

Bien surpris de la situation dans laqu'elle il tomba, le jeune homme ne comprenait pas pourquoi elle l'aida, oui il l'avait volé et elle ce qu'elle faisait c'était l'aider à s'en sortir, c'était une chose dont il ne comprenait pas. Pourquoi aider la personne qui l'a volé, ensuite la jeune femme l'entraîna dans une rue sombre, ce qui le mit mal à l'aise surtous quand il fut bombardé de question, le jeune homme ne pouvait que se résigner à déclarer cette phrase.

"Encore heureux que vous êtes sous l'emprise de mon illusion naturel."

Cette phrase signifia une bonne chose, le jeune homme en ria légèrement, en fin de compte il allait bien s'amuser si il restait avec elle, la suivre serait bien ingénieux mais pourquoi ne pas dire la vérité tous de suite, pourquoi ne pas se présenter ? Se serait la meilleur des choses actuellement, ne pouvant faire mieux. Notre voleur décida alors de se présenter.

"Pour éviter tous problème je préfère vous mettre au courant que je suis un homme... Et je me prénomme Débra Himarrosse, pour le fait que j'ai réussit à prendre votre bourse est bien simple, enfin pour moi mais je ne tiens pas à révéler se secret... Estimez vous heureuse que je vous en ai déjà dit un de secret..."

Ne se débattant pas, le jeune homme lui refit le même tour de passe passe pour lui prendre sa bourse, lui tendant il ne disait rien, ayant agit d'une main experte il fallait avouer que le vol il avait ça dans le sang. Mais d'un air plutôt froid il dit aussi.

"Je ne prendrais pas votre argent, vous êtes trop généreuse... Vous vollez serait une perte de temps en fin de compte."

Lui aussi était généreux, la preuve il avait rennoncé à la voler, le jeune homme qui de son regard si féminin attendit qu'elle le lâche, notre ami allait il être libéré ou avait elle encore d'autre question à lui poser au qu'elle il ne répondrait peut être pas, Débra en attendant regarda toujours la jeune femme droit dans les yeux, c'était durre pour lui de s'avouer vaincue, et c'était bel et bien la première fois, mais il y avait toujours une première fois, le jeune homme se promit alors de ne plus échouer, cela allait de sa réputation.

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La blondinette regardât la personne en face d'elle qui lui avouât qu'il était un homme. Surprise, elle ne laissât pourtant rien paraitre de son étonnement, la seule chose qu'elle fit, ce fut dégager son visage d'un geste simple de la main. Après quoi, le garçon attrapât de nouveau la bourse de la jeune fille, elle avait observé, mais n'avait pas réellement calculé la dématérialisation de la main du jeune homme. Enfin, Foh repris alors ses biens et les rattachât à sa ceinture, dégageant son rapière. Une fois qu'il eut promis de ne pas la volé, la jeune fille le lachât et reculât d'un pas avant de prendre son rapière de sa main droite, posant la deuxième sur sa poitrine, afin d'effleurer son pendentif, elle reprit alors, de son air serein et plein de gaité :

-He bien, je vous propose un combat, sans la moindre tricherie, celui qui gagne demande une faveur à l'autre, cela vous va t-il ?

Sa faveur, Foh l'avait déjà en tête, elle allait lui demander de l'accompagner à la recherche de quelques reliques, et comme cet homme avait la faculté de voler des objets aussi facilement que ce qu'il pouvait boire une coupe de champagne, la blondinette allait vouloir l'avoir comme maître-élève. Cette combinaison, au goût de la blondinette, serait bénéfique aux deux côtés, mais enfin... Là, elle se préparait au combat, ces yeux virèrent bientôt à une couleur grisâtre, et, sans qu'elle s'en rendent compte, de son bras droit commençât à émaner d'une certaine auréole de lumière avant qu'elle ne s'éteigne comme si rien ne c'était produit. Enfin, Foh sourit à Débra avant de lui demander s'il était d'accord. Elle avait peut-être ces chances, mais cette fois-ci, elle ne sous-estimait pas son adversaire, elle savait très bien qu'il pourrait lui subtiliser quelque chose, peut-être pas son rapière, mais enfin... prête au combat, elle se contentât juste de déposser sa valise sur un coin de la ruelle, attendant la réaction du voleur.

*Que les vents soient avec moi, et que puissent-ils me donner la force de vaincre.*

Enfin libéré le jeune homme pouvait partir mais la jeune femme sembla vouloir le retenir étant donné qu'elle lui proposa un affrontement, pourquoi pas... Mais ce n'était pas à l'avantage de notre voleur, il était rare qu'il se batte, de prime il allait devoir faire une frappe directe si il voulait gagner, la récompense ? Il s'en moqua, ne sachant pas quoi demander à part le manteau qu'elle portait, quoi que... Non il allait rien lui demander, ne voulant pas avoir de faveur, il lui en devait déjà une de toute mannière et c'était déjà énorme.

"Je ne suis pas du genre à tricher, je ne fairais qu'utiliser mes capacités, je ne suis pas doué pour le combat."

Trés modeste... Oui bon le combat allait devoir se faire, le jeune homme savait déjà comment agir de toutes mannière, allant profiter de la ruelle pour affronter son adversaire, déjà lui retirer son pendentif auqu'elle elle sembre tenir, c'était la mission que le jeune homme se donna, ne voulant pas perdre une nouvelle fois, il allait devoir y aller de toutes ses forces, se mettant alors à une bonne distance de la demoiselle, environ quatre mêtre, il dégaina ses deux dagues souriant alors, prenant une posture assez étrange, une lame pointé vers la demoiselle et la deuxième en retrait. Le combat allait il être sérré ou non ? La question était simple, qui gagnera ?

"Je suis prêt, je vous laisse l'honneur d'attaquer la première."

Le sourire malicieux sur le visage de Débra laissa à croire qu'il avait déjà une stratégie, oui au fond il savait déjà comment agir, son regard planté dans celui de la demoiselle, prêt à se battre il ne voulait pas perdre, il lui devait déjà une faveur et ça il ne se devait pas de lui en devoir une deuxième.

*Des qu'elle cour vers moi il faudrait que j'arrive à devenir invisible, ensuite passer au travers du mur à gauche pour me faufiler dérière et lui retirer son pendentif, je dois réussir, je n'ai pas envie d'échouer... Et si jamais elle ne bouge pas je vais devoir me déplacer le plus vite possible pour me retrouver dérière elle, mais prendre son pendentif devrait lui prouver que j'aurais pu la tuer... Bref, il faut que je réussisse !*

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Avant de proposer ce combat, Foh avait bien évidement étudier le terrain, elle plantât son rapière dans le sol, avant de s'accroupir, posant les deux mains à terre et créant ainsi un terrain difficile d'accès, en effet, la blondinette avait modifié à l'aide de son pouvoir, les dallages, les contractant et les faissant ressortir, pour toute attaque de vitesse, c'était perdu d'avance puisque quiconque se mettrait à courrir aurait de trop fortes chances de trébucher. La jeune fille se relevât ensuite et retirât son épée du sol avant de s'enrober dans une espèce d'aura lumineuse qui lui procurerait un pouvoir défensif durant une quinzaine de secondes. Là, la jeune fille sautât sur le dallage en piteux état jusqu'à arriver juste contre le bonhomme, lui assénant un coup d'épée sur le côté droit et de reculé en sautant de nouveau, afin de revenir à sa place initiale. Même si le jeune homme avait essayé de l'attaquer durant ces quinze secondes d'actions, cela aurait été vain, mais l'armure de lumière était maintenant tombé. Il fallait juste qu'elle se contente d'esquiver les coups, et, au moment propice, lui donner un coup derrière la tête avec le manche de son arme... Mais il y avait un problème, elle sentait qu'il allait se passer quelque choses, et ses yeux se troublaient, en effet, la couleur de ceux-si alternait entre bleu et gris. La jeune fille s'écroulât alors, tenant son visage de sa main gauche, toujours en serrant très fort son rapière. Après deux secondes, elle se relevât,c es yeux étaient de nouveaux bleu argenté, et, elle se sentait plus que jamais prêté à combattre.

La jeune fille se mit en position de garde, et, si on devait venir à l'attaquer de front, la seule chose qu'elle ferait, ça serait sauté, courir un côté et se ramasser au sol serait bien trop dangereux avec un tel dallage...

Le jeune homme ne s'étant pas attendue à être attaqué de face aprés ce qu'elle eut fais avait eut tous de même le temps de se protéger, restant aprés un petit moment Ahuri, légèrement confus il devint alors invisible, ne s'en étant pas rendut compte il le remarqua quand il ne vit plus ses mains, sursautant intérieurement, mais cela en était le bon moment pour lancer l'offensive, se décalant sur le coté pour passer aux travers du mur il se retrouva dans une maisonnette, courant alors et sortant une nouvelle fois du mur il se retrouva dérière la demoiselle, attrapant le pendentif au passage, l'on pouvait sentir sa joie intérieur quand il lui retira le pendentif, mais il eut une accélération trop rapide se prenant alors le mur en face de lui, redevenant visible il était sonné, ne comprenant pas ce qui c'était passé, le jeune homme était là face contre mur tombant en arrière, pendant se temps il revoyait une part de son passé, il revoyait alors sa famille. Le choc avait été violence et ça s'en était sûr, au moment où il toucha le sol le bruit de sa chute s'entendit, comme si il était tombé d'asser haut, la douleur parcourant son corps le jeune homme voyait trouble, n'arrivant plus à bouger la tête tournant alors.

*J'ai mal...*

Le dallage de la demoiselle n'avait servit strictement à rien, mais ce n'était pas si important, il c'était prit lui même le mur, là l'on pouvait voir son manque d'entraînement, mais au fond l'on ne pouvait lui en vouloir, il faisait tous pour réussir, la preuve se relevant alors mais étant déséquillibré, il se remit en position de combat.

*Je dois gagner...*

Dans sa main droite il tenait alors le pendentif de la demoiselle, son sourire sur son visage en disait long, il avait presque réussit, il aurait du réussir sa fuite mais c'était la seule chose dont il avait raté.

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Déstabilisée par la perte de son bien le plus précieux, Foh mit quelques secondes à s'en remettre avant que celle-ci ne veuille vraiment se déchainé, jusqu'à lors, elle s'était retenue, en effet, elle aurait très bien put planté son rapière dans le corps de son adversaire à la place de simplement lui asséné un coup. Alors elle aurait recours aux grands moyens. La blondinette rangeât son épée et tandis ces mains vers Débra, commençant à prononcer des paroles en elfique ancien, le dallage formât une barrière d'environ cinquante centimètre autour du voleur. La jeune fille ressortit à nouveau son rapière et fonçât, lui mettant la pointe de sa lame sous la gorge, se contentant juste d'arracher son collier avant de reculer. Elle ne baissât pas sa garde mais le raccrochât avant de mettre sa lame droite, devant son visage, à la verticale du sol, et de frapper de sa seconde main, le poignet de la main armée. Son dos commençât à se déformer, comme si des ailes coulaient sortir du corps de la blonde. Là, la jeune Martinez s'avançât doucement, d'un pas sûr, vers son adversaire et lui dit avec une voix pleine de rage de ne jamais recommencer. Puis, elle se calmât, son dos repris une forme normale, mais la puissance de son pouvoir était encore palpable, alors, elle donnât quelques coups à gauche et à droite du corps, prenant soin de ne viser que les vêtements qui ne tardèrent pas à être dans un mauvais état. C'était une mauvaise idée que de s'en être prit à cet objet. N'importe lequel autre aurait été du gagné, mais ce pendentif, il signifiait la mort de sa mère, le retour de Glenn, l'amour de sa famille, le lien qui la reliait aujourd'hui à ces épreuves qu'elle avait surmonté... Enfin, Fiona fit demi-tour, lentement, croyant que Débra allait abandonné, et l'espérant. En effet, elle savait pertinemment qu'en utilisant encore et encore son pouvoir d'énergie, elle allait finir par perdre conscience d'âme. Elle fermât les yeux en se dirigeant vers sa valise, mais, avant qu'elle ai atteint destination, elle sentie une lame dans son dos et une sous sa nuque. Décidément, ce combat était plein de rebondissement, et cela lui plaisait. Seulement, elle avait oublier de demander quand le combat s'arrêterait, car, pour demander une faveur, il ne fallait en aucun cas tuer l'autre, et puis, ça ammenerait bien des problèmes au vainqueur...

Malgrés le fais qu'il soit sonné, il n'avait pas abandonné pour autant, n'ayant pas encore retrouver un bonne équillibre, il c'était mit de façon à forcer son adversaire d'abandonner, en plaçant la pointe de sa dague qu'il tenait de la main gauche dans le dos de son adversaire et l'autre il avait passer son bras autour du cou de la demoiselle pour placer sa lame d'un coté du cou, de façon à ce que si elle bouge elle soit égorgé, mais il avait laissé un espace pour ne pas lui faire de mal, de sa lame qu'il avait pointé dans le dos de son adversaire il rengaina et passa sa main au travers du corps de la demoiselle sans lui faire de mal, la lachant il recula de quelques pas, encore sonné mais arrêtant ce qu'il avait fait, le jeune homme regarda alors la demoiselle ne disant toujours rien, attendant qu'il soit moins sonné il regarda la jeune femme et annonça.

"Je ne m'avouerais jamais vaincus..."

Le jeune homme fatigué d'avoir user de son dernier sort rengaina sa deuxième lame avant de tomber à genoux, oui passer à travers d'objet inanimé était simple, mais aux travers d'un être vivant, cela était différents, plus durre, mais un sourire se dessina tous de même sur le visage du jeune homme qui fut ainsi ressaisit et se releva alors en dégainant une nouvelle fois ses deux dagues, d'un sourire incompréhensible notre voleur pointa les deux lames vers son adversaire et attendit.

"Ce combat peux encore durrer longtemps, tous dépendra de qui veux abandonner en premier, mais plutôt mourir qu'abandonner, je te dois déjà une faveur je ne veux pas en devoir une deuxième !"

Pour notre voleur une faveur c'était trop, alors autant continuer jusqu'à mourir pour lui, il ne voyait que cette solution là, mais bien épuisé à cause de sa dernière action, il décida cette fois ci que se serait sa dernière action si elle voulait continuer l'affrontement.

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Sentant une lame contre son dos, Fiona s'efforçât de respiré à plein poumon, en fermant ces yeux. Malgré l'espace qui séparait sa nuque de la seconde dague, la blondinette en ressentait déjà la fraicheur, puis, le garçon passât sa main au travers du corps de la jeune fille, cela ne l'affectait pas puisque le bras était immatériel. Il c'était épuisé pour rien, puis, il reculât. Il allait falloir que la jeune femme dépasse ces limites. En effet, faire appel à ces pouvoirs d'énergie dans ces conditions ne la mènerait nulle part, si ce n'est à sa propre perte, alors qu'elle réfléchissait à cela, le voleur reprit de sa voix douce. Il lui avouât que jamais il n'abandonnerais, mais la jeune fille refusait de perdre ou de le tuer, il allait falloir user de tout et de rien. L'immobiliser ? Non, juste lui demander, ce serait ça, sa solution.

-Eh bien, continuons encore un peu !

Se retournant alors, Foh rangeât son rapière, et, sortant de ces poches, des vieux gants déchirés, puis des poing américains dont elle s'arma. Elle commençât alors à joindre ces poignets, remettant le sol correctement, elle pourrait désormais courir et tomber sans prendre de trop gros risques. C'est d'ailleurs pour cette raison que la jeune fille commençât à tourner autour de sa proie, avant de l'attaquer de face par un coup de poing dans le ventre, remontant amicalement contre la machoire du jeune homme. Ce serait trop bête de le défiguré, alors Foh le poussât à terre et s'allongeât sur lui, détachant les dagues de la ceinture du petit bonhomme, les envoyant jusqu'à sa valise.

-Je déteste perdre, je ne te l'avais pas dit. Mais je refuse de te tuer, ça mennerait à bien trop d'ennuis.

La jeune fille se relevât alors, rangeant ces armes puis tendant une main à son adversaire :

-Egalitée, OK ?

Le coup au ventre lui fit mal, ensuite il fut envoyé au sol, la honte... Cela réclama vengeance, au fond il ne voulait pas admettre la moindre égalité, restant un moment à terre se plaignant de douleur au ventre, enfin il se plaigna intérieurement ne voulant pas se plaindre à voix haute, ce fut quand elle lui tendit une main amicale vers lui qu'il eut sa petite idée, elle annonça alors qu'elle voulait une égalitée, mais pas lui ! Lui il se contenta d'attraper la main de la demoiselle en tirant un coup il posa son pied sur le ventre de celle ci et la fit passer par dessus, n'ayant rien admis il se releva se dirigeant vers ses lames tous en déclarant :

"Tu as perdue... Ne jamais avoir de pitié pour un adversaire."

Le jeune homme récupéra alors ses dagues, s'en armant il se tourna vers la jeune femme, celle ci voulait absolument continuer l'affrontement ou non, le jeune homme allait désormais se battre sans user de ses pouvoirs, il pouvait continuer à se battre, ne voulant pas admettre de défaite ni d'égalité, son caractère un peu têtu alla jouer contre lui ? Peu importe, le jeune homme attendit alors qu'elle se relève, lui ne voulant abandonner il attendit alors, ayant compris au fond ce que voulait la demoiselle.

"Que me voulez vous exactement... Et ne tournez pas autour du pot."

Le jeune homme était impatient, il voulait absolument savoir ce qu'elle voulait et cela peu importe, au fond il se disait qu'elle avait besoin de ses services, aprés tous un talent comme le sien, c'était du jamais vue, mais aprés tous, notre voleur qui attendait une réponse garda son regard vers la jeune femme, ne voulant pas se montrer galant, aprés tous. Un combat était un combat, le jeune homme attendait alors encore et encore (je me répète ?) Débra resta alors là regardant donc cette jeune femme.

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✖ SONG

La jeune fille, à terre, s'en voulait de ne pas lui avoir demandé alors qu'elle était encore couché sur lui. Mais enfin, maintenant, il attendait juste qu'elle se relève. Accepter d'abandonner était contre ces principes fondamentaux, et, contrairement à ce que pouvait penser le jeune homme, elle était dans une position plutôt avantageuse. En effet, comme celui-ci ne l'attaquerait pas avant qu'elle se soit relevée, elle pouvait facilement user de son pouvoir du contrôle des éléments alentours. Enfin, la blondinette était sur le dos, à fixer de ces yeux saphirs le voleur debout face à elle, elle le regardait au plus profond de son âme. Son dos était à peine surélevé, en appuis sur les deux coudes, les mains allongées sur le sol. Elle souriait au jeune homme, elle n'avait plus envie de se battre. Mais les promesses comptent plus que l'envie. De plus, il n'avait pas le regard d'un tueur, et il suffirait que Foh n'utilise aucune magie durant dix minutes pour pouvoir faire usage de sa magie de l'énergie sans le moindre risque. Mais dix minutes, c'était trop, alors, la blondinette regardât le mur en bois délabré derrière Débra. Il était coincé, et même s'il parvenait à l'attaquer, elle savait qu'elle ne pouvait pas mourir. Elle ne le devait pas.

-Echec et math...!

C'était fait. Avant qu'elle n'eut le temps de terminer sa phrase, le bonhomme était entouré de blanches de bois, parsemée de quelques clous rouillés. Foh se relevât pour se mettre en face de lui.

-Ce que je veux, j'ai retrouvé des proches, dont un fait prisonnier par le gouvernement, et ton pouvoir de traverser les murs, franchement, je pense que ça pourrait m'aider, mais aussi, je pense qu'avec moi, tu pourrais progresser. Ha ! Et ne t'avise plus jamais de toucher à ce pendentif, compris ?

La jeune fille défît alors la prison du garçon avant de d'attraper sa valise et se partir de la ruelle, après tout, il semblait ne pas vouloir abandonné, et c'est aussi dans la retraite et l'abandon que peux résider une certaine force...

Son adversaire avait été sans honneur, le jeune homme avait été bon joueur ne l'attaquant pas alors qu'elle était au sol, mais elle, elle en avait profité, le jeune homme se considéra alors comme vainqueur, mais il ne voulait pas le dire car cela ne servirait à rien, les femmes quand elles le voulaient, elles trouvaient tous le temps le moyen d'avoir raison, alors autant laisser tomber la moindre discution, le jeune homme rengainant alors ses lames attendit une nouvelle fois, il ne répondit pas tous de suite à la demoiselle, gardant le silence un instant, réfléchissant à la situation, en faite le jeune homme lui était utile seulement pour l'aider à sortir un de ses proches de prison, c'était un vol comme un autre au fond, à part que le butin était un être vivant cette fois ci, mais trêve de pensée inutile, regardant la demoiselle il déclara.

"J'ai compris..."

Mais il ne voyait pas en quoi il pouvait progresser avec elle, cela le laissa un peu perplexe ne comprenant pas, mais elle ? S'améliora t'elle en sa présence ? Il valait mieux sinon le jeune homme pourrait en tirer avantage et la voler en la laissant là sans rien dire, en faite il allait tous de même l'aider cela en allait de soit, il lui devait bien un service, mais ce service était plutôt risqué, le jeune homme ne savait pas si cela en valait la peine ou non, il lui fallait une paye en compensation, car là c'était sa vie qu'il allait risquer, pour une personne dont il ne connait même pas le nom, le jeune homme ne sachant pas comment réagir face à la situation se tue une nouvelle fois, c'était compliqué, et bien entendue il allait devoir faire avec. Gardant son regardant dans celui de la jeune femme il déclara donc.

"Je ne pense pas être en mesure de pouvoir le faire..."

Oui car il allait devoir savoir utiliser son pouvoir d'invisibilité pour réussir cette mission, mais il n'arrivait pas encore à l'utiliser pleinement, le jeune homme ne savait pas comment faire, il devait s'entraîner d'avantage, et là c'était pour rendre service et pas pour lui même. Le regard qui se détourna pour regarder ailleur il se refusa alors de se dire élève de la demoiselle.

--> Admin

[Fiona a été droite dans le combat, elle a fait comme Déb' lorsqu'il lui proposât l'égalité =). Elle était désarmée et de dos =)]

✖ SONG

Foh avait déjà tourné les talons, il n'avait pas voulut de l'égalité, et elle, l'avait simplement immobiliser pour lui parler sérieusement avant de partir. En fait, le voleur avait parler dans le ville, la jeune fille se trouvait déjà devant la taverne, sortant sa carte de sa petite valise, la retournant dans tout les sens, boussole à la main. En réalité, elle ne savait pas trop où aller, mais la nuit n'allait pas tarder à tomber, il lui fallait un lieu pour dormir. La jeune femme vérifiât une dernière fois qu'elle avait tout ces biens. C'était le cas, elle n'avait plus à s'inquiéter, cependant, comme une brise marine montrât le bout de son nez, Foh fermât son manteau et s'équipât de ses gants troués et déchirés, juste histoire de réchauffer la paume de sa main...
Alors qu'elle se dirigeait vers une auberge, elle entendit des pas, comme si quelqu'un la suivait, se retournant, elle ne vit pourtant que la foule environnante. Enfin, la blondinette entrât dans l'enseigne, s'adressant à l'accueil et demandât une chambre. Elle paya alors, avant de monter dans une chambre par des escaliers grinçants et pas réellement rassurant. Une fois arrivée dans la pièce, elle se délestât de son manteau qu'elle posât soigneusement sur un fauteuil bancale, avant de ranger sa bourse, son rapière et sa valise dans l'armoire prévue à cet effet. Ne sachant que faire avant la nuit, la blondine ne trouvât rien de mieux à faire que d'ouvrir les volets et la fenêtre et de se placer sur le rebord de celle-ci, afin de regarder l'Océan, se rappelant à quel point elle l'aimait avant et à quel point il l'avait fait souffrir. Touts ces souvenirs se mêlèrent, jusqu'à ce que la nuit tombe sans que la jeune fille ne s'en rende compte. Elle était plongée dans ces pensées, en ne remarquant rien d'autre que la danse des vague sur cette étendue bleutée. Elle essayait d'apercevoir au loin le continent tant désiré des civils de l'Empire Noir. Qu'elle aussi, désirait atteindre vivant, avec Yvan et Luca...

Ayant été laissé là, le jeune homme n'avait pas encore de lieu où dormir, alors il avait décidé de suivre la demoiselle, mais en chemin il se fit aborder par un homme, notre voleur voulait faire vite, ne voulant perdre la demoiselle de vue, alors elle trouva comme excuse le fait qu'elle n'avait pas le temps, et au passage il prit la bourse du jeune homme et partit, dans cette bourse il y avait quelques piêces assez pour se payer une chambre, suivant Fiona il ne savait pas trop où elle allait mais ce qui était sûr c'est qu'il ne la lacherait pas de si tôt, elle avait demandé une faveur et le jeune homme n'avait eut de choix que d'accepter. Entrant alors dans l'auberge, le jeune homme attendit alors un moment avant de prendre une chambre et de monter à l'étage pour y accéder, bien entendue en y entrant il referma la porte, mais le jeune homme déposant ses affaires décida d'aller rendre visite à la jeune femme, fermant la porte de l'intérieur, il passa au travers de cete dernière et chercha aprés la chambre de la demoiselle, une fois qu'il l'eut trouvé il entra sans rien dire, en passant aux travers de la porte tous comme il avait fais pour sortir.

"Ce n'est pas en me laissant sur place que je pourrais vous aider..."

Débra avait peut être perturbé un moment de calme mais qu'est ce que cela pouvait lui faire, aprés tous le calme n'était pas toujours bon pour les gents, il fallait parfois un peu de turbulance pour rendre la vie plus joyeuse, mais pour revenir aux moutons, le jeune homme s'adossa alors à la porte, le regard vers la jeune femme, allait elle l'ignorer ? Ou non ? Au fond là c'était assez important pour le jeune homme car être ignoré pouvait être une chose blessante, mais il ne s'en soucia pas. Croisant les bras il n'avait plus cas attendre, regardant sa camarade.

*J'aimerais bien savoir à quoi les gents pensent par moment.*

--> Admin

✖ SONG

Les pensées de la jeune filles s'envolèrent en même temps que ce qu'une voix apparue, mais elle n'avait en aucun cas envie de montrer le trouble qu'il avait fait naître en elle, alors, elle restât à fixer la ligne d'horizon encore quelques secondes avant de répondre, de sa voix pleine de mélancolie mêlée à de la tristesse...

-Je n'ai pas remporter le combat, vous non plus, personne n'a demandé de l'aide à l'autre, j'ai juste répondu à vos questions.

C'était vrai après tout, ni elle, ni lui n'avait clairement abandonné, et encore moins perdu, la blondinette avait stoppé le combat ayant compris qu'il ne menait absolument à rien. Mais là, en prononçant ces quelques mots, vers la fin de sa réponse, on sentait les sanglots dans sa gorge. La voyageuse ne voulait pas se retourner, non, elle ne voulait pas montré ces larmes, elle voulait les gardées pour elle, pour ne pas montrer sa faiblesse. Elle tendit alors la main vers une étoile, s'essuyant quelques larmes de son second bras, avant d'essayer de saisir l'océan. Elle pensait à une ville histoire que les vieux marins de sa ville natale connaissaient tous, celle de l'Océan remplit de larme. Elle se disait que toutes ces personnes ayant pleurés avaient dût souffrir, comme elle, et, qu'en soulageant leurs peines, ils en avaient créées bien d'autre. Elle se disait qu'elle même, participait à ces souffrances, et surtout ses souffrances à elle. Pouvait-on lui en vouloir ? Tout ce-ci se bousculait dans la tête de la jeune fille avant que de son avant bras droit, elle essuie les dernières perles longeant son visages, se retournant vers le jeune homme, les yeux un peu irrités, et un sourire si fictif s'affichait sur ses lèvres.

-Et même si vous m'aidiez, sans le désir et la volonté, pensez vous y arrivez ?

Il le voyait, c'était flagrant, elle versa quelques larmes et ne voulait se retourner pour les montrer, le jeune homme connaissait ça, lui même cela lui était déjà arrivé par le passé de pleurer et de ne pas montrer ses larmes pour paraître fort, ou sinon il avait déjà joué la comédie pour attirer un homme dans l'un de ses nombreux traquenard, le jeune homme était bel et bien rusé. Mais voir quelqu'un pleurer ne le laissa pas de pierre, la preuve il en avait laché un soupir ! C'était déjà beaucoup, et pour ça part lui il avait accepté une mission et il ne reculerait pas désormais, la jeune femme qui lui demanda donc si il en avait le désir ou encore la volonté... Le désir non car il ne désirait rien en tirer, mais la volonté de rendre service à la demoiselle il l'avait bel et bien, mais en attendant il se répéta alors la mission dans sa tête, le fait qu'il puisse se faufiler aux travers des murs était un atout majeur et il en était conscient, le jeune homme allait donc devoir faire ce que nul n'oserait faire.

"Vous savez que vous êtes folle... Et moi je suis fou pour accepter de vous aider..."

Oui c'était vraie celail fallait être fou pour accepter une tel mission, mais le jeune homme aimait se genre de défit, la preuve il en souria légèrement, mais bien entendue il ne savait pas d'où il devait sortir cette personne, et sortir une personne de prison était un crime qui pouvait le condamner à mort ! Mais qu'est ce que cela pouvait lui faire ? Lui voleur de toujours devrait déjà l'être, mais sa ruse l'avait toujours sortie d'affaire, le jeune homme resta adossé à la porte, mais se redressa, il avança d'un pas pour se rapprocher de la jeune femme, lui tendant la main il annonça une nouvelle fois :

"Moi je suis partant, mais c'est à vous de voir si vous voulez toujours de mon aide ou non."

--> Admin

✖ SONG

L'homme faisait un pas vers elle, tout en lui parlant, mais cette blondinette, elle était têtue, un peu trop même, alors, elle refusait d'y voir claire, les mots du jeune homme ne la touchaient pas assez, puis, il lui tendit la main, alors qu'elle avait eut le temps de se lever, et lui dit, doucement, d'une manière réconfortante, avant de lui dire dans un souffle qu'il était partant. A ce moment là, tout fut comme figé, et, la jeune fille, en déversant encore une larme, tombât dans les bras du garçon, sanglotant, pleurant à chaudes larmes, elle sentit alors contre son corps, le long de son dos, deux mains chaudes se collées, afin de la réconfortée. Il avait beau être un homme, elle le voyait toujours comme une femme, et ne se permettait pas d'être totalement intime avec lui, ce quelque chose qu'il avait de plus, ou qui lui manquait, tout cela, tout cela la troublait et la gênait presque. Elle était là, dans les bras de la jeune femme, enfin, du jeune homme, le visage sur l'épaule de celui-ci, quelques perles s'éclataient sur le sol, ces perles d'eau si belles que personnes ne voulaient voire coulés de son visage. Pourquoi ne rien faire, ne rien dire...?

Tout se troublait dans l'esprit de la jeune fille, grâce à l'homme qui la serrait dans ses bras, elle pourrait récupéré son frère plus facilement, après l'avoir retrouvé bien sûr, mais cela la faisait enfin avancé dans son but, dans son chemin, elle allait enfin pouvoir retrouvé encore de l'espoir, espoir encore faible. Sa voix de cristal semblait troublée, vibrée, affectée, torturée, soulagée, accablée, et tant d'autre adjectifs contradictoires qui mêlent tout types de sentiments, quand la jeune fille murmurât simplement, doucement, affectueusement...

-Merci...

C'est alors que la jeune fille se décollât du corps de l'homme, regardant ensuite celui-ci dans les yeux, de son regard de cristal, toujours aussi beau, aussi fragile. Maintenant, elle se sentait rassurée, simplement rassurée.

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Fiona Martinez : 12 (+8 = 20)
Débra Himarosse : 11 (+0 = 11)

RP SUSPENDU