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Ce monde dévasté qui ne rêve que de changer d'ère et qui cherche son élu afin de survivre. De quel côté serait vous ? Des oppressé ou des oppressants ?
Nombre de messages : 27 Niveau : lvl 1, Cœur Perdu Date d'inscription : 20/11/2010
Feuille de Personnage Maîtrise du Pouvoir: (75/100) Pièces d'Or: 0 RP en cours: Nouveau départ, nouvelles rencontres?
Sujet: Les nuits du vampire (poèmes) Dim 12 Déc - 12:58
(j'inaugure cette partie xD certains remontent un peu quand même)
Spoiler:
Ah ... douce symphonie de la noble rose, Réanimant l'âme aristocrate en moi, Tendre valse rappelant le vieux temps des rois, J'y ajoute mes vers, sans hésiter je l'ose.
Le temps attendu est enfin venu pour vous, Je vais ressurgir avec cris et morsures, Le vampire est de retour en cette saison dure, Le sang va couler à flot, coulant sur vos cous.
Ce monde ... plus j'y vis, plus j'en suis dégoutté, Il n'est que souffrance avec la mélancolie, Nos rêves illusoires nous maintiennent en vie, Ils sont envoûtants, promettant amour et beauté.
La tension monte, la soif de sang est là, Les vampires, si froids et cruels, ont-ils un cœur? Je te réponds non, tu es alors pris de terreur, Car, par mes crocs, tu ne te réveilleras pas.
Ah ... les rêves, qui m'épousent chaque soir, Dans un monde recouvert de roses, si parfait, Ils me donnent qu'une seule envie, c'est ce fait : Je recouvrirai de roses ce monde si noir.
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L'épine de la Rose est plantée dans mon cœur, Apportant avec elle son poison maudit, Je ne peux plus trouver le sommeil cette nuit, Sensation atroce dans mon torse, la douleur.
Ce soir, ta nuque rouge déborde de vie, Mes lèvres absorbe cette vie en toi, Le sang des nobles m'ayant chassé autrefois, Tache leur noble tapis rouge aujourd'hui.
J'attends encore et encore ce maudit jour, Où la Rose me montrera toute sa beauté, M'emportant dans l'illusion, belle comme l'été, Pour le moment elle me poignarde tout court.
Je souris à ma proie en cachant mes crocs, Voulez vous venir avec moi? avez-vous peur? Mon instinct la réclame, plus forte que le cœur, Affamé, je t'attire vers un éternel repos.
Ah ... je désire tellement les roses pures, Une porte blanche se dresse dans mon âme, Dégageant l'odeur de la rose et une autre infâme, Je l'ouvre, je découvre la vérité, dure.
Croyez-vous que le vampire que je suis est fou? Avec une âme divisée en deux par le passé Dont la rhapsodie qu'est le destin, est tracée, Je ne suis que contraire, un paradoxe c'est tout
Spoiler:
Ah ... les rayons de la Lune sont doux cette nuit, Baignant les roses de sa lumière chaleureuse, Comment une âme ne peut tomber amoureuse De la beauté de ces sentiments retranscris?
Ces pétales aux milles éclats sont souillés Par les Hommes et leur coeur rempli de laideurs, Qui tachent la Rose et toute sa splendeur Avec leurs guerres puériles et leur stupidité...
Je ne suis qu'un mélange d'Amour et de Haine, L'incarnation de la Rose sur cette terre, Ses cruelles épines, témoignant de sa colère, Ainsi que ses pétales, coulent dans mes veines.
Ah ... ma mère la Rose ... montre-moi encore, Montre-moi, tes doux pétales m'illusionnant, Toute la beauté du lyrisme des amants, A moi ton descendant, ne connaissant la mort...
Les Hommes ne cessent jamais de s'entretuer, Ainsi est la réelle nature de leur coeur, Se croyant toujours comme étant supérieurs Ne pardonnons plus à ceux qui nous ont chassés...
Je ne suis qu'un mélange d'Amour et de Haine, Mon amour pour la beauté des sentiments purs, Ma haine pour tous ces Hommes si immatures, Ce monde est atteint d'une terrible Gangrène ...
Spoiler:
Sous ces doux rayons de la Lune, en cette nuit, Sous toutes ces roses étoilées éblouissantes, J'emprunte une nouvelle voie douce et attirante, Eloignée de celle des humains et de leur vie.
Engagé dans un nouveau destin incertain, Je dépeins la Solitude et l'Eternité, Le Lyrisme, l'Amour dans toute sa Beauté, Descendant de la Rose souillée par les humains.
Je mordrais le cou de ces êtres disgracieux, Leurs donnant le baiser de mort comme châtiment, Tandis que sur l'autel où je porte jugement, Je deviendrai Dieu !
Tandis qu'ils s’entre-tuent sans fin dans leur conflit, La Souffrance joue son triste air de violon, Alors qu'insensibles, ils n'entendent ce son, La douleur, ce cri, la mélancolie de vie !
Ecoutant les notes de cette mélodie, Je danse dans cette douce valse sans fin, Mené par la Souffrance qu'est le destin, Jusqu'à que se termine cette symphonie.
Je mordrais le cou de ces êtres disgracieux, Leurs donnant le baiser de mort comme châtiment, Tandis que sur l'autel où je porte jugement, Je deviendrai Dieu !
Daman
Et je vis dans ce monde en perdition
Nombre de messages : 17 Humeur : En gééral bonne Niveau : lvl 1, Citoyen Date d'inscription : 02/11/2010
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